Je l'entendais gémir tous les soirs. Il faut dire que les murs sont comme du carton dans la bâtisse où j'habite.

Tous les soirs, j'entendais la femme gémir, j'entendais son mec lui foutre de grandes claques sur les fesses, et elle gueulait puis elle gémissait puis on entendait soudain ses râles d'orgasme à lui qui prouvaient à quel point c'était bon de lui remplir les boyaux, à la petite blonde.

Un soir, elle s'est débattue plus que de coutume, il faisait doux par la fenêtre, il était en train de la déculotter et elle criait: "Non, non, déculotte-moi pas, si tu me baises dans le vagin je vais être enceinte, s'il-te-plaît non, s'il-te-plaît," et lui il lui balançait de grandes claques sur les fesses et les cuisses, et puis il a gueulé: "Pauvre idiote tu sais bien que je t'encule de toute façon ta chatte c'est pas mon trip!" et là il a dû l'enculer car elle s'est mise à couiner comme une truie qu'on égorge et puis à s a n g loter en gémissant et j'entendais grincer les ressorts du lit, de plus en plus vite, et puis là il a hurlé pendant au moins cinq minutes tellement c'était bon et il a dû lui remplir le rectum d'un bon litre de foutre.

Tous les soirs, il la baisait. Dans le cul, sans doute, même si c'est dur de juger à travers les murs. Un matin, elle a descendu l'escalier avec ma soeur. À un moment donné, elle a glissé et ma frangine l'a rattrapée, et puis elle sont devenues amies. Depuis ce jour-là, elles se sont fait des confidences comme les filles s'en font. Elle a confié à ma sœur qu'elle avait glissé parce qu'elle était obligée de marcher les cuisses écartées, elle avait été enculée sauvagement la veille et elle avait mal au troufignon. Elle a raconté à ma sœur qu'elle n'était jamais prise par le ventre, son homme n'aimait pas ça, et dans sa culture on obéit à son homme sans se poser de questions.

Il lui avait dit qu'un jour il changerait à la dernière minute, histoire de lui faire un gamin, mais c'est lui qui déciderait quand. Il lui avait juste déviergé le trou de devant le soir des noces, avec les doigts et la bite, mais il n'aimait pas ça, c'était juste histoire de s'assurer qu'elle était encore vierge - et comme elle avait eu passablement mal cette fois-là, elle s'était dit que c'était probablement mieux dans le cul de toute façon.

Une semaine plus tard, j'ai entendu frapper à ma porte. C'était la petite blonde. Comme elle était amie avec ma soeur, elle n'avait pas hésité à frapper à ma porte. Il y avait un problème: les toilettes fuyaient, et inondaient tout l'appartement. Sans être plombier, je me dém e r d e pas mal avec mes mains, alors j'y suis allé. Quand on a eu arrêté la fuite d'eau et épongé la flotte, on était trempé et on sentait la sueur - comme une inspiration soudaine, je l'ai empoignée et je l'ai embrassée. Elle ne s'est pas débattue et m'a embrassé en retour, puis elle a baissé mon short à toute vitesse, et elle a fait un "Oh!" enchanté.

J'ai appris plus tard que ma sœur lui avait dit que je n'étais pas circoncis, et comme elle était curieuse, parce qu'elle n'avait jamais vu de prépuce, elle avait décidé de trouver un moyen pour me déculotter. Déculotté, décalotté, en deux secondes elle était en train de me branler, mais j'ai vite fait sauter sa petite culotte et je me suis craché dans les mains pour baiser son trou si bien rôdé quand...

La porte s'est ouverte toute grande et un gigantesque bonhomme, poilu comme un chameau, est entré. Il m'a empoigné et m'a secoué dans tous les sens, me cognant, m'insultant, et me disant que dans son pays on coupe les noix des gars qui s'attaquent à la viande des autres. Il m'a tellement cogné que je me suis évanoui.

Quand je me suis réveillé, j'étais tout nu, attaché dans une pièce pleine de tapis, et un homme avec un rasoir se tenait de bout juste à côté de moi. J'ai gueulé comme un fou: ils allaient me castrer ! Ces e n f a n t s de chienne allaient me priver de ma virilité! Donner mon sac tout chaud aux chiens! J'ai essayé de me débattre, mais rien à faire... Le gros type est rentré et s'est assis pour regarder. La petite blonde s'est assise juste à côté de lui, avec un grand sourire. Et puis elle m'a dit: "Sois heureux, ils vont te rendre propre, ils vont offrir ton prépuce au créateur!"

Juste à ce moment le type avec le rasoir a tiré sur ma peau, et puis le temps que ça me brûle et que je crie j'ai senti que la peau de la verge glissait et que j'avais, bon gré mal gré, joint les rangs des coupés. Enfin, un prépuce en moins, c'était moins pire qu'une paire de couilles en moins... Ils m'ont badigeonné la queue à l'huile chaude et m'ont gardé au lit une semaine.

Au bout d'une semaine le gros poilu est revenu avec la blonde qui lui a dit: "Ça va, il est correct, il est prêt, il est propre, tu peux y aller..." Le gars m'a relevé les cuisses, et j'ai soudain senti une énorme bite circoncise qui m'ouvrait l'anus, toute enduite d'huile d'olive. J'ai gueulé, j'ai plaidé, j'ai supplié en disant que je n'étais pas une tante, qu'il n'était rien qu'un enculé, mais plus je gueulais plus il m'enculait et plus il rigolait, en me disant qu'en fait c'était moi l'enculé, et que sa femme adorait le voir enculer des mecs, et qu'en plus elle collectionnait les prépuces, ça l'excitait terriblement de voir un gars se faire circoncire et devenir tapette sous ses yeux. Et de fait j'entendais la fille qui se caressait les seins et qui gémissait doucement.

Le gros gars ahanait et rigolait en regardant et en disant Tu vois, dans mon pays on leur tranche le clito, eh bien elle se branlent quand même, toutes des salopes, toutes des salopes, et moi je gueulais en me faisant défoncer le cul, et puis je me suis mis à gémir et j'ai compris que rien ne serait jamais plus pareil. J'étais devenu bisexuel, je n'y pouvais rien, ce type enculait tellement bien, c'était tellement bon d'avoir le boyau plein de viande chaude, et la fille s'est mise à me parler dans l'oreille, à me dire alors chéri c'est pas bon d'avoir un homme dans le cul, et je sentais ses doigts courir sur ma cicatrice de circoncision toute fraîche, et j'ai juté comme un fou, pendant que l'autre me bourrait le cul, et d'un grand coup il s'est mis à se vider dans mes intestins, et Dieu que c'était fabuleux! J'avais mal au cul mais j'aurais voulu aller plus loin, encore plus loin, encore...

Depuis ce temps-là, on est devenus amis. Léonidas, comme il s'appelle, bourre alternativement le cul de sa femme et le mien, et on habite ensemble. Moi j'ai le droit de baiser sa femme dans le cul quand je veux, et je ne m'en prive pas, mais je dois accepter qu'il me fasse baiser par qui il veut. L'autre jour il m'a fait birouter devant sa femme par deux nègres super-membrés. Aucun n'était coupé, et après qu'ils se sont bien vidés il leur a donné une potion magique qui les a endormis, et inutile de dire qu'au réveil ils avaient la queue bandée, mais pas tout à fait comme ils auraient pensé... et la femme à Léonidas avait deux magnifiques prépuces noirs dans sa collection. J'ai hâte qu'ils soient remis, parce que Léonidas m'a promis que je pourrais en enculer un tandis qu'il ferait l'autre. J'ai hâte! Je suis devenu une salope et j'en suis fier!

LeeKorn

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